Ce mois de juin, nous avons lancé deux campagnes importantes de recrutement. La première concerne la recherche de 50 nouveaux collaborateurs, employés et ouvriers, pour renforcer nos équipes. La seconde vise le recrutement de 15 nouveaux apprenants, pour la formation en alternance qui débutera en septembre. Vous aussi, aidez-nous à diffuser nos campagnes !
Pour les détenteurs d’une camionnette : collez les autocollants reçus sur vos véhicules.
Pour les conducteurs et chefs de projets : accrochez les bâches reçues. Vous souhaitez en recevoir ? Contactez le service RH
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Pour tous :
Notre programme de formation en alternance, qui a débuté il y a 10 mois, est un succès ! Un programme rythmé par des cours à l’IFAPME, l’apprentissage du métier sur chantier, des formations et des visites. Retour sur ce parcours gagnant !
Ça y est : 16 mois après le démarrage du chantier, nous venons de livrer ce 21 juin le tablier Est du viaduc de Livange ! Une étape très importante qui marque le basculement du chantier : place maintenant aux travaux sur le tablier Ouest.
C’est dans le cadre de l’élargissement de l’A3, l’autoroute la plus fréquentée du Luxembourg, que nous réalisons ces travaux. Sur place, les équipes de Galère Lux réparent et agrandissent le viaduc 1025 de Livange afin de lui permettre d’accueillir trois voies sur chacun des tabliers.
Long de 155 mètres, ce viaduc à poutres précontraintes indépendantes de cinq travées construit au milieu des années 70 présente de nombreuses pathologies de béton. Par ailleurs, ses deux tabliers ne disposaient pas de la largeur suffisante pour accueillir les trois voies de circulation souhaitées. Les tabliers ont donc été élargis par l’ajout de poutres VFT (poutres métalliques avec membrure béton) afin d’atteindre la largeur de 20,55 mètres chacun.
Depuis février 2023, le trafic était limité au tablier Ouest pour nous permettre de travailler sur le tablier Est. Et voilà qui est fait !
Ce 21 juin, une fois le tablier Est livré aux Ponts et Chaussées, nos équipes ont procédé au balisage durant la nuit pour basculer la circulation autoroutière sur le nouveau tablier et prendre possession du tablier Ouest.
Place maintenant à la deuxième phase du chantier. Sur le tablier Ouest, la pose des poutres VFT a été anticipée par nos équipes sous coupure d’autoroute et de trafic ferroviaire. Ceci nous permet de débuter plus rapidement la dépose et la démolition des superstructures.
Suivront les hydrodémolitions de différentes parties du tablier pour permettre son renforcement et son élargissement. Le maître d’ouvrage nous a également confié les travaux de modification de la bretelle d’entrée d’autoroute qui devront être réalisés en parallèle.
Bravo à nos équipes de compagnons pour leur engagement durant ces opérations importantes et bonne continuation à eux !
Les températures remontent enfin et le soleil tape fort récemment… Voici quelques conseils pour prêter une attention particulière à nos collègues sur le terrain.
Travailler par temps chaud engendre des risques supplémentaires. Lors de travaux en période de canicule et/ou exposition au soleil, plusieurs mesures sont à appliquer sur nos chantiers :
L’heure des vacances approche à grands pas : vous allez bientôt quitter votre lieu de travail pour un congé bien mérité. Voici quelques points à vérifier afin de sécuriser votre chantier avant votre départ !
L’objectif est de retrouver le chantier dans les meilleures conditions possibles. Protégez-le pour le mettre en conformité avec vos attentes.
Soyez vigilants et vérifiez que :
Nous vous invitons à consulter l’infofiche 38 (Sécurisation avant fermeture prolongée) pour plus de détails.
A quelques jours des congés, Galère relance son enquête sur votre bien-être et vous adressera sous peu le deuxième volet de celle-ci. N’oubliez pas d’y répondre !
Répondre à cette analyse participative est le meilleur moyen de donner rapidement et anonymement de l’information sur les axes prioritaires de travail. Le premier volet nous a livré ses enseignements et nous attendons beaucoup de cette deuxième salve !
L’analyse et les résultats vous seront communiqués peu après la rentrée en août mais la clôture des questionnaires se fera avant les congés.
Merci déjà pour votre implication.
La pluie diluvienne de ce printemps a quelque peu chamboulé l’exécution des travaux sur la rive mosane entre le pont-barrage de l’Île Monsin et le Pont Atlas. D’abord prévue pour le samedi 22 juin 2024, l’ouverture de la trémie a finalement eu lieu trois jours plus tard.
La transformation de l’autoroute E25 en boulevard urbain poursuit son cours à Bressoux avec une étape cruciale enfin franchie : l’équipement complet et l’asphaltage du revêtement de la trémie, d’une longueur de 295 mètres. Ceci permet aux voitures venant du nord d’accéder à l’avenue de Jupille sans perturber le trafic de transit.
Ce ne sont pas moins de 370 pieux sécants qui forment chaque voile de l’ouvrage. Ces pieux présentent, en fonction de l’endroit, un diamètre de 63 ou 88 centimètres. Un sur deux est armé. La construction du radier, de la dalle de toiture et des contre-voiles, ainsi que la pose du revêtement se sont enchaînés ces derniers mois sous une météo particulièrement défavorable. Mais le résultat est là : les voitures peuvent désormais circuler sur les deux bandes du trafic de transit.
Ces travaux ont exigé un terrassement de 14.000 m³ de terres. A noter que les voiles de la trémie sont recouverts d’un bardage d’écrans acoustiques afin de limiter la réverbération du bruit des moteurs. Un bassin de récolte des eaux de pluie de 150 m³ a été également créé pour limiter le risque d’inondation. Les eaux de ruissellement sont ensuite rejetées dans la Meuse via un système de pompage.
La suite des travaux se concentre sur la configuration routière côté commerces jusqu’à la fin de l’année, notamment à hauteur de la trémie. Les aménagements côté Meuse, et plus particulièrement le chemin cyclo-piéton, seront, eux, terminés pour l’été 2025.
Félicitations à nos collègues sur place et bonne continuation sous un ciel qu’on espère plus clément.
Notre collègue, qui vient de célébrer ses 19 ans de carrière dans la Galère, participe aux événements sportifs les plus exigeants de course à pied. Comme, par exemple, l’Ultra Trail du Haut-Giffre, une épreuve de montagne de 96 kilomètres avec 6.700 mètres de dénivelé positif qui a été marquée par un incident tragique. Récit.
Samoëns, en Haute-Savoie, est une station de ski jouxtant la Suisse où a lieu chaque année une compétition immanquable si on veut mesurer ses capacités physiques face à la nature. A 42 ans, Benjamin participe pour la troisième fois d’affilée à ce qui ressemble à une torture pour les sportifs du dimanche. Un Ultra Trail. La distance doit être supérieure à 80 kilomètres et se dérouler dans un milieu naturel. Dans le cas présent, 96 kilomètres et beaucoup de montées et descentes. Le but est de tenter de franchir la ligne d’arrivée en moins de 24 heures.
« Après une préparation de plusieurs mois, je me faisais un plaisir de me rendre à Samoëns, pour participer à mon 3ème UTHG d’affilée. » raconte Benjamin. « Le briefing de départ nous prévient que des pluies torrentielles sont annoncées pour la fin de nuit et qu’il va faire froid, qu’il faudra être très attentif parce que le passage à la pointe d’Angolon s’annonce technique et périlleux… Il ne croyait pas si bien dire. »
Pour débuter ce défi, il est impératif de disposer du matériel adéquat pour franchir les obstacles, mais aussi des vêtements et équipements permettant de continuer à courir sous la pluie, le froid et l’obscurité. Sinon, l’organisation ne vous autorise pas à prendre le départ.
Benjamin poursuit : « La montée de la pointe d’Angolon se déroule dans un climat qui se rafraîchit et c’est là que les événements vont commencer à basculer. À mi-montée, un crachin apparaît, la brume et le vent se lèvent. Je ne le sais pas encore mais ce sont les prémices de l’enfer à venir de l’autre côté de la pointe. La deuxième partie de la montée, technique et sinueuse sur une arête, se fait dans un chemin boueux et difficile, avec la pluie qui s’intensifie progressivement. »
L’organisation demande à ce que les participants chaussent les crampons et s’aident de la corde installée dans la descente. « Je ne sais pas pourquoi mais en voyant la situation et grâce à mes expériences précédentes, j’ai la lucidité de ne pas écouter la consigne et de choisir de descendre légèrement à l’écart sans crampons, sans la corde mais petit pas par petit pas, à l’aide de mes bâtons. »
Une fois la descente entamée, les conditions météo empirent et deviennent dantesques. La température chute, la pluie est torrentielle, le vent se lève. Comme prévu, Benjamin descend à l’écart, très calmement, en sécurité, toute relative. Des traileurs sont bloqués, pendus à la corde. Certains glissent et dévalent la pente. Les cris se multiplient. C’est l’apocalypse. Chaque seconde qui passe est une seconde de trop. L’instinct de survie prend le dessus : « je me suis dit : Benja, tu dois sortir de ce merdier et le plus vite possible. »
Le reste de la descente est épique : « Vu les conditions de la descente, je reste en t-shirt et coupe-vent. Il est primordial que je me réchauffe sous peine d’hypothermie. Il reste encore au moins 5 kilomètres de descente. Le sentier, qui s’apparente plus à un torrent, me fait chuter plusieurs fois. Je suis détrempé, je suis frigorifié mais je maintiens le rythme pour me refaire une santé au ravito du 25e km. »
Quand il y arrive, la course est neutralisée. Quelques minutes plus tard, elle sera définitivement arrêtée. Derrière Benjamin, il y a un mort et deux blessés graves. « Cet arrêt de la course m’a soulagé et a surtout permis de rappeler à tout le monde que la montagne aura toujours raison, il faut rester humble devant elle. Rien ne sert d’essayer de la dompter, il faut la comprendre et faire avec les éléments. »
Si Benjamin n’est pas prêt d’oublier cette expérience, elle lui permet de relativiser les aléas de la vie et du travail. Car il est aussi conducteur de chantier de l’extrême : aux commandes du futur siège social de Galère, il travaille sous le regard curieux de l’ensemble de ses collègues… Bon courage à lui pour la poursuite du chantier et pour ses prochains trails !
Cela fait 10 ans que les travaux sont en cours pour rénover ce bijou architectural datant de 1938. Cet été, les employés communaux retrouveront leurs bureaux flambants neufs, au charme de l’ancien.
Cela fait maintenant 10 ans que notre secteur Restauration a entamé la rénovation du somptueux bâtiment. S’il a gardé le charme de son époque, il est désormais transformé : accessible aux PMR, meilleure acoustique, système audiovisuel, organisation modernisée des espaces de travail… Bravo à tous nos collègues et aux nombreux corps de métier qui ont rendu cette restauration possible. Tout n’est pas terminé puisque nos équipes travaillent toujours sur l’aménagement des combles : bonne continuation !
Visiblement, porter l’emblème de Galère pousse nos collègues sportifs à réaliser des performances remarquables. Nos hockeyeurs s’installent une nouvelle fois sur le podium du tournoi Hockey Corporate, tandis que nos coureurs ont brillé au Batirun et nos footballeurs ont empilé les victoires au sein du championnat inter-entreprises du Soccer Club.
Vendredi 14 juin, notre équipe mixte de hockey sur gazon s’est classée troisième (sur douze) du tournoi « Hockey Corporate – Fun – Constructions ». Trois victoires en quatre matchs, notamment contre BPC, Besix et Jacques Delens. Une petite défaite, par le plus petit écart, en demi-finale contre Socatra, nous empêche de viser le titre. Félicitations à nos hockeyeuses et hockeyeurs qui ont joué sous une météo particulièrement menaçante et qui parviennent chaque année à prendre position sur le podium.
Lors du Batirun, nos équipes galériennes, aux côtés de nos collègues de Thomas & Piron, ont apporté un peu de vert à l’événement avec deux équipes dans le haut du classement final dont une qui occupe la 38ième position globale sur 323 équipes. Notre équipe mixte se hisse quant à elle dans le top 10 de sa catégorie. Bravo !
Enfin, les hommes de François Pahaut ont survolé la compétition de football en salle inter-entreprises du Soccer Club de Sclessin en terminant la saison régulière à la seconde place. Félicitations à eux pour cette magnifique régularité dans les bons résultats à chaque rencontre. N’oubliez pas, si vous souhaitez rejoindre nos héros du gazon synthétique, contactez François Pahaut qui se fera un plaisir de vous accueillir !
Notre collègue Francesco Cubeta est pensionné après plus de 17 ans de service. En route vers une nouvelle vie qui commence !
Ce 31 juillet, nous dirons au revoir à notre collègue Francesco Cubeta qui prendra sa pension après 17 ans comme Galérien. Franco est rentré chez Galère le 8 janvier 2007. Il a su s’adapter en travaillant pour plusieurs secteurs, au sein de la cellule ROA ou pour les départements Bâtiment et Génie Civil. Parmi ses derniers chantiers, on retrouve le CHwapi, la ville haute de Charleroi et la Cimenterie Delwart.
Franco, durant toutes ces années, nous avons pu compter sur toi ! Nous nous souviendrons d’un collègue toujours positif, serviable, débrouillard, toujours plein de joie de vivre. Merci pour la qualité de ton travail, merci pour ta disponibilité et ta fidélité à l’entreprise. En route vers une retraite bien méritée… Nous te souhaitons le meilleur !
Demande de stage
Candidature spontanée
